Daniel "Dan" Taylor

Dan est un homme relativement bien musclé. Comme il n'a quitté l'armée que depuis peu, il garde toujours sa forme physique aussi excellente. C'est une personne qui n'aime pas s'habiller trop propre, mais qui parvient à faire quelques efforts lorsqu'il est necessaire de le faire. Normalement, il porterait un jean avec un tee-shirt ordinaire, à la limite une chemise, avec un tee-shirt en dessous. Il a les cheveux longs, mais parfois se les fait couper pour changer de look. Toutefois, il garde toujours un duvet pour la barbe. Il a les yeux bleux-gris tout comme son frère !

Que dire de son caractère ? C'est très simple: Dan est quelqu'un de doux, du genre à ne pas faire de mal à une mouche. Par contre, il y a des limites pour tout, et il ne faut pas l'énerver, sans quoi ça peut être très mauvais pour celui qui l'enquiquine. C'est quelqu'un qui aime bien faire rire les gens, cachant intérieurement une grande solitude qui dure depuis longtemps. Son humour lui permet d'avoir le minimum d'attention dont il a besoin et se savoir aimé également. Il est très souriant et toujours de bonne humeur. C'est le genre d'homme qui pourrait pleurer pour une petite coupure, mais qui ne voudrait pas d'aide pour une fracture. Pour se qui est de son charme et de ses relations avec les femmes, il n'a qu'une règle: interdiction de lever la main sur aucune femme sur la planète, même après sa mort ! Il l'a toujours repecté et la respecte encore. Si un homme vient lui mettre des bâtons dans les roues pour des mauvaises intentions, il sera le genre à le replacer dans son trou.

Je regardais au loin la mer qui entourait New York. Depuis ces quelques années où j'y habitais, je n'ai pas vu aucunes traces de mon frère jumeau. Je ne connais pas son prénom. Tout ce que je sais, c'est qu'il est parmis ces huit millions de personnes dans cette si grande ville. Je me souviens encore de ma mère adoptive, quand elle m'avait raconté le pourquoi que j'étais dans une famille d'acceuil: mes parents avant notre naissance, qui souhaitaient tant avoir un enfant, n'avait pas l'argent pour parvenir à faire vivre la famille. Mon père, qui était Marines, était partit pour de longues périodes avec l'armée, laissant ainsi ma mère seule avec les paiments de la maison et des factures aussi. Résultat: ils n'étaient pas trop riche. Mon père avait de l'argent certe, mais comme il n'était pas là, cet argent restait dans un compte à prendre poussière. Malheureusement, mes parents on gardé mon frangin avec eux, et m'ont balancé à l'adoption. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi ils ne m'ont pas ajoutés sur l'acte de naissance familliale. Il y a longtemps que je ne suis pas allé voir ma mère adoptive à Chicago, ma ville natale. Depuis que j'ai quitté pour l'armée de l'air, je ne l'ai pas revu. Dire qu'à dix-neuf ans, je pilotais des avions militaires pour combattre et que quelques années plus tard, j'ai eu un grade de lieutenant et je dirigeais mon propre peloton de soldat de l'air. Quand je suis sorti de là, il y a de ça à peine deux ou trois ans, j'étais vachement bien décoré. Je suis venu à New York, intéressé par la ville mais aussi parce que je savais que mon frère s'y trouvait. J'ai fait des études pour devenir policier dans la Criminelle, avec espoir qu'on m'engage. Pour le moment, je travaille dans des petites boutiques ici et là pour subvenir à mes besoin. Mais bientôt, je vais aller mener un CV à la Criminelle de Manhattan pour tenter d'y avoir un poste.... Pourvu que ça fonctionne !