Jack Rider [Co-Admin]

Nom : Rider

Prénom : Jack Leonard

Age : 31 ans

Emploi : Barman

Description physique : Grand, va-t-on dire qu'il a un physique plus ou moins imposant... Il aime l'entretenir, comme le ferait un vrai mec, non ? Cheveux bruns courts, yeux noisette... Rien d'extraordinaire. Type assez banal et bateau. Niveau vestimentaire, il est très souvent décontracté... du tee-shirt au chemise en passant par le marcel, le jean clean au jean troué... C'est selon ses humeur et ses envies... Il ne faut pas oublier son habit fétiche : sa veste en cuir. Il est important de se mettre en valeur.

Caractère Assez grande gueule pour se faire entendre... Ou du moins pour se faire respecter, là où il travaille dans un des bars les plus réputés... Il n'hésite pas à cadrer, à remettre un peu d'ordre quand les choses débordent. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds. Professionnellement, ça marche, mais personnellement, c'est autre chose. Certes, niveau amical, ça marchait très bien mais sentimentalement, il déteste s'attacher... Il préfère changer de partenaire - que ce soit homme ou femme - tous les soirs....
En quelques mots, il est : coureur de jupons, dragueur, protecteur envers les gens qu'il aime, plaisantin, travailleur, susceptible à son heure, borné... mais surtout attachant.

Histoire :Quelque part à Buffalo, un jour de froid d'hiver, Jack vit le jour, et pas tout seul... Il a une soeur jumelle : Elyse. Ils grandirent sans vraiment de soucis, ou presque : leur père en commun était plus ou moins alcoolique... Leur mère ne leur accordait pas trop d'attention.

En grandissant, Elyse et Jack essayaient de se soutenir... D'être ensemble mais finalement, plus le temps passait, plus c'était dur pour eux, qu'ils extériorisaient leur souffrance d'une différente manière. Leur personnalité et leur intérêt divergèrent, créant un fossé.

Elyse s'enfonçait dans les bouquins ; elle ne sortait plus son nez dedans. Sérieuse, studieuse... Elle devenait introvertie, renfermée. Contrairement à Jack, qui lui, sortait, faire la fête... Faisait même peut-être les pires conneries (non pas les « pires ») qu'un adolescent pouvait faire : se prendre une cuite, fumer un joint comme ça, pour tester... Il sortait avec des filles... C'était la jeunesse.

C'était d'ailleurs pendant cette adolescence qu'en plus d'être attirer par les filles, les mecs n'étaient pas si nuls que ça, non plus... Ca lui avait fait bizarre et il ne comprenait pas sur le coup. Il avait du mal à l'accepter. Sa fierté en prenait un sacré coup. Normal, ce n'était pas du tout viril, tout ça, pour lui... Il n'osait le dire à ses amis, par peur qu'on le dévisage ou qu'on ne le comprenne pas... Ou même pire, il ne pouvait se confier à sa famille... Un verre d'alcool accompagnait toujours le daron, un cancer du sein venait d'atteindre la mère et ne parlons même pas du génie de la soeur, avec qui Jack était toujours en désaccord...

La fin des études était là... Ouais, mais c'était sans diplôme. Que pouvait-on faire sans rien ? Partir ? Où ? à Dallas ? San Diego ? à New York ? Pourquoi pas ? Jack voulait partir de Buffalo et changer d'air. Sur ce, il fit les petits boulots sur boulots pour se payer le permis, la voiture... - Ou n'est-ce que la moto !! - et voilà qu'il partir dans la Big Apple... Il enchaîna toujours les petits boulots, cherchant à se construire, ou plutôt à se reconstruire, retrouver ses repères...

Et ne parlons même pas des gens en général : les filles, les mecs... Ca défilait à vrai dire... Son record ? C'était peut-être 5 mois de relation avec une nana... C'était tout... Et voilà qu'il rencontra Madeleine... Une chique mémé à 50 balais qui le prit sous son aile... Cette Mady s'était entichée de notre homme et voulait l'aider. Elle était propriétaire d'un bar avec une certaine Maria, et ces deux-là cherchaient un barman... Maintenant, à 25 ans, Jack se trouva alors barman avec deux bout de femmes très sympathiques... C'était limite si ce n'était pas ses deux meilleures amies.

Mais ça n'empêchait pas que ce très cher Jack ait du mal à s'enticher de quelqu'un. Ce qu'il l'intéresse était de déconner, courir de droite à gauche... Quoi ? Comment se priver d'un tel plaisir, non ? Autant se servir de ce que Dieu avait à donner... Autant se servir de ce que les hommes ont sous la main, et non de ces sentiments inutiles.